Eriger la vallée de l’Ouémé en département
Réunies à Adjohoun le samedi premier novembre 2008 sous la férule des maires des quatre communes de la vallée de l’Ouémé à savoir Isidore Zinsou de Bonou, Gérard Adounsiba d’Adjohoun, Clément Gnonlonfoun de Dangbo et James Dègbo des Aguégué, réunie à Adjohoun les populations de la vallée souhaitent qu’à l’occasion du découpage territorial en cours, la vallée de l’Ouémé soit érigée en département. Ces populations ont de bonnes raisons en faisant cette doléance. Elles ont démontré que cette région remplit toutes les conditions pour être érigé en département. La preuve ont elle fait savoir, cette zone constitue une communauté linguistique avec des us et coutumes que les populations partagent en commun. De même, ont elles fait remarquer, ces quatre communes comptent plus de deux cent mille habitants et abritent la deuxième vallée en Afrique après celle du Nil. Ainsi donc pour les populations de la vallée et les élus faire de la vallée un département n’est que justice. Dès lors, la balle est désormais dans le camp du gouvernement du changement et de la commission mise sur pied par le chef de l’Etat qui doivent tenir compte de la proposition des ‘’wéménou’’. Une chose est sûre, ces dernières ont avancé des arguments solides qui sautent à l’œil. Il ne s’agit aucunement d’une faveur. Il suffit simplement d’observer la carte géographique du Bénin pour se rendre à l’évidence que bien de région ne remplissent pas les critères pertinents et incontestables que remplit la vallée de l’Ouémé. Et pourtant elles sont érigées en département.
Réunies à Adjohoun le samedi premier novembre 2008 sous la férule des maires des quatre communes de la vallée de l’Ouémé à savoir Isidore Zinsou de Bonou, Gérard Adounsiba d’Adjohoun, Clément Gnonlonfoun de Dangbo et James Dègbo des Aguégué, réunie à Adjohoun les populations de la vallée souhaitent qu’à l’occasion du découpage territorial en cours, la vallée de l’Ouémé soit érigée en département. Ces populations ont de bonnes raisons en faisant cette doléance. Elles ont démontré que cette région remplit toutes les conditions pour être érigé en département. La preuve ont elle fait savoir, cette zone constitue une communauté linguistique avec des us et coutumes que les populations partagent en commun. De même, ont elles fait remarquer, ces quatre communes comptent plus de deux cent mille habitants et abritent la deuxième vallée en Afrique après celle du Nil. Ainsi donc pour les populations de la vallée et les élus faire de la vallée un département n’est que justice. Dès lors, la balle est désormais dans le camp du gouvernement du changement et de la commission mise sur pied par le chef de l’Etat qui doivent tenir compte de la proposition des ‘’wéménou’’. Une chose est sûre, ces dernières ont avancé des arguments solides qui sautent à l’œil. Il ne s’agit aucunement d’une faveur. Il suffit simplement d’observer la carte géographique du Bénin pour se rendre à l’évidence que bien de région ne remplissent pas les critères pertinents et incontestables que remplit la vallée de l’Ouémé. Et pourtant elles sont érigées en département.
Armel FERAEZ
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