
Le Directeur Général de l’Agence démarre en trombe
(Houédjissin et Azannai, des alliés sûrs du Pdt Yayi Boni)
Avec la nomination de maxime Houédjissin , la réhabilitation de la ville d’Abomey et des communes avoisinante est devenue une réalité. Le directeur de l’Agence veut aller vite afin de concrétiser enfin son rêve qui est de voir développer sa cité natale. Avant sa prise de service officielle qui ne tardera pas, l’ancien député et questeur de l’Assemblée nationale a presque fini d’élaborer sa stratégie pour la réussite de sa mission. Le chef de l’Etat n’a donc pas tort de lui confier cet important programme.
Si les informations qui ne sont parvenues sont vérifiées, le siège de l’Agence pour la réhabilitation de la ville d’Abomey est trouvé et l’installation du Directeur général Maxime Houédjissin ne tardera pas. Mais de sources crédibles, on apprend que ce dernier n’a pas attendu qu’on l’installe avant de se mettre au travail pour enfin changer le visage de ville délabrée que présente Abomey et les autres villes du département du Zou. Il a déjà tenu des séances de travail avec des membres du gouvernement concernés par la réhabilitation du Zou, l’Agetur, Serhau-Sa. Le Dg Houédjissin s’est aussi entouré de cadres de hauts niveaux à savoir des juristes, des architectes et des financiers pour ne citer que ceux là. C’est la preuve que Houédjissin s’inspire du dynamisme du privé pour atteindre son objectif. Il a déjà fait ses preuves ailleurs et si Boni Yayi l’a nommé pour diriger ce projet, c’est que le Directeur Général lui inspire confiance. Il est certainement convaincu qu’il peut l’aider à donner forme et corps aux promesses qu’il a faites aux populations d’Abomey et de tout le département du Zou.
Houédjssin et Azannai, des alliés sûrs dans les milieux fon
En composant avec le duo Maxime Houédjissin et Candid Azannai , le président Boni Yayi donne la preuve qu’il est un bon manageur. Il a su bien choisir les cartes avec lesquelles il va jouer. Si la Renaissance a réussi a bien jouer son rôle dans l’opposition sous le président Mathieu Kérékou, ces deux personnalités en ont été pour quelque chose. Ce sont eux qu’on voyait monter au créneau pour critique le pouvoir dans les moments les plus difficiles de la vie du parti. C’est encore eux qui mobilisaient l’électorat qui était en contact direct avec lui aux différentes échéances électorales. Ce n’est pas exagéré de dire que depuis le départ de Azannai et de Houédjissin de la Rb, le parti est en train de dégringoler Comme le chef de l’Etat l’a si bien commencé, il doit garder avec lui Azannai et Houédjissin dans son équipe. Il suffit qu’ils aient un minimum de moyen pour quadriller le Zou et d’autres communes où vivent les fon.
Georges AGBESSI
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